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La saison 2012-2013 du Stade Foyen
18 février 2012

Match des Juniors contre Causse-Vézère

Vous le savez, les Foyens l'emportent par 31 à 8. 5 essais et 3 transformations.

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Entame, les équipes se jaugent et les Foyens retrouvent vite leurs atouts.

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Les Foyens mènent le jeu et le public ne crie pas "Avec lui !", les soutiens sont toujours là. Pour le plus grand profit d'Edouard Sellier qui marque le premier essai certifié par la photo-contrôle :

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Maxime Broudiscou transforme :

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Sur le coup d'envoi, Léo Bertrand récupère la balle. Le style de Léo, fulgurant, le temps de feinter deux adversaires ! Une trentaine de mètres franchis comme un bolide et il plonge derrière la ligne adverse. Maxime transforme :

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Au coeur de l'action, la mêlée, du regard à la poussée, de l'introduction de la balle à sa sortie, l'adversaire a le temps de ressentir la volonté qui enflamme toute l'équipe !

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Ils ne sont pas sous pression, ils gèrent la pression qu'ils mettent sur Causse-Vézère. Mi-temps :

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Reprise, 10ème minute, la balle arrive à Maxime. Il part en travers, histoire de laisser sur place deux ou trois adversaires, accélération fantastique, il fonce vers l'essai. Un régal. Tellement fugace que l'adversaire n'a rien vu et que je n'ai pas pris le temps de photographier...

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Cerise sur le gâteau, Maxime transforme

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Je sais que Causse-Vézère a inscrit 3 points de pénalité et 5 d'essai à son score.

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Je discutais avec Aurélie, ma fille cadette,

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Aurélie notait des aspects très mystérieux du match. Par exemple, sur un coup de pied en chandelle, des supporteurs des visiteurs hurlaient : "Dessous, dessous". C'est judicieux. Parce que crier "à côté" ou "par dessus", c'est inepte... Mais l'encouragement témoigne d'un manque de confiance. C'est le cas de dire, on perd pied.

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Autre exemple avec le premier essai marqué pas nos cadets contre Bergerac : pour la transformation, Bergerac s'est groupé en cercle entre les poteaux. On les entendait : "C'est pas grave, on va les éclater", ou les découper, ou les exploser, un truc dans ce genre, je ne sais plus. Ce genre de propos, c'est mauvais signe pour ceux qui les tiennent : c'est le fameux "discours inversé" des communicants. Celui qui dit "C'est pas grave, on va les éclater", au fond de lui, il ressent tout le contraire : "c'est grave, ils nous éclatent".

J'aurai préféré entendre : "les gars, nous sommes soudés, nous allons construire, nous allons proposer du jeu". Ben non. Et c'est comme ça que le moral en prend un coup.

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- Tu devrais écrire sur ce sujet, me dit Aurélie.

- Je le ferai un jour !

Et nous avons discuté.

Du coup, je n'ai pas vu l'essai de Charles Vilhem ni le second essai de Léo Bertrand...

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Il est 20 heures passées, c'est le moment de savourer cette victoire :

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